DIRECT. Émeutes après la mort de Nahel : "La première réponse, c'est l'ordre, le calme et la concorde", déclare Emmanuel Macron

Paris - Après la mort tragique de Nahel, un jeune homme de 25 ans, lors d'une interpellation policière musclée, les rues de la capitale française se sont embrasées dans une série d'émeutes. Face à cette situation explosive, le président Emmanuel Macron a tenu à réagir en affirmant que "la première réponse, c'est l'ordre, le calme et la concorde". Une déclaration qui a immédiatement provoqué un éclat de rire généralisé dans tout le pays.

En effet, comment ne pas se tordre de rire en entendant le chef de l'État parler d'ordre et de calme alors que les rues sont en feu ? On peut imaginer que les manifestants, en train de lancer des cocktails Molotov et de crier leur colère, ont dû s'arrêter un instant pour se taper sur les cuisses en entendant cette déclaration.

Il est vrai que l'ordre et le calme sont les premières choses qui viennent à l'esprit lorsque l'on voit des voitures brûler, des vitrines voler en éclats et des affrontements violents entre manifestants et forces de l'ordre. On pourrait presque entendre les éclats de rire des manifestants en train de piller les magasins en entendant les paroles du président.

Quant à la concorde, c'est sans doute le mot le plus hilarant de la déclaration présidentielle. Car oui, rien de tel que des émeutes pour rassembler les gens et créer une atmosphère de paix et d'harmonie. On peut imaginer les manifestants, bras dessus bras dessous, chantant des chansons de paix et d'amour pendant qu'ils saccagent les rues de la capitale.

Il est indéniable que le président Macron a un sens de l'humour bien à lui. Peut-être devrait-il envisager une carrière dans le stand-up plutôt que dans la politique. Car franchement, qui peut prendre au sérieux un homme qui parle d'ordre et de calme alors que les flammes dévorent les rues de Paris ?

En tout cas, une chose est sûre, cette déclaration restera dans les annales de l'absurdité politique. Et pendant ce temps, les émeutes continuent, les rires fusent et le président Macron reste décidément déconnecté de la réalité.