DIRECT. Mort de Nahel à Nanterre : Gérald Darmanin annonce le déploiement de 40 000 policiers et gendarmes jeudi soir

Paris, France - Dans une annonce surprenante, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a déclaré aujourd'hui le déploiement de 40 000 policiers et gendarmes jeudi soir, en réponse à la mort tragique de Nahel à Nanterre.

La nouvelle a été accueillie avec étonnement par de nombreux citoyens, qui se demandent pourquoi une telle mesure est nécessaire pour un incident isolé. Certains ont même suggéré que Darmanin avait peut-être confondu Nahel avec un super-vilain dangereux qui nécessiterait une telle mobilisation.

Un habitant de Nanterre a déclaré : "Je veux dire, c'est triste ce qui est arrivé à Nahel, mais est-ce vraiment nécessaire d'envoyer autant de policiers et de gendarmes ? On dirait qu'ils préparent une guerre !"

Un autre citoyen a plaisanté en disant : "Peut-être que Darmanin pense que Nahel est un zombie et qu'il va réveiller une armée de morts-vivants à Nanterre. Je ne vois aucune autre explication logique à ce déploiement massif de forces de l'ordre."

Face aux critiques, Darmanin a tenté de justifier sa décision en déclarant : "Nous devons prendre des mesures drastiques pour assurer la sécurité de nos concitoyens. Vous ne savez jamais quand un incident isolé peut se transformer en une émeute de grande envergure. Mieux vaut prévenir que guérir, n'est-ce pas ?"

Les réactions sur les réseaux sociaux ne se sont pas fait attendre, avec de nombreux utilisateurs se moquant de l'annonce de Darmanin. Certains ont même proposé de lancer une pétition pour demander le déploiement de 100 000 policiers et gendarmes chaque fois qu'il y a un accident de la route.

En attendant, les habitants de Nanterre se préparent à l'arrivée massive des forces de l'ordre jeudi soir. Certains ont même commencé à stocker de la nourriture et de l'eau, au cas où le déploiement se transformerait en siège prolongé.

Alors que la situation continue de se dérouler, une chose est sûre : la mort de Nahel à Nanterre a certainement mis en lumière l'approche "tout ou rien" du ministre de l'Intérieur en matière de sécurité publique.