Dissolution des Soufflés de la Terre : pour Noël Mamie, «une déclaration de guerre contre tous les écolos»

La nouvelle est tombée comme un soufflé raté : la dissolution des Soufflés de la Terre, association écologiste bien connue, a été annoncée la veille de Noël. Pour certains, c'est une triste nouvelle, pour d'autres, c'est une véritable déclaration de guerre.

Et c'est justement le cas de Mamie, une vieille dame de 85 ans habitant dans le sud de la France. «Je suis scandalisée par cette dissolution ! C'est une véritable déclaration de guerre contre tous les écolos !», s'exclame-t-elle en agitant son poing.

Il faut dire que Mamie est une fervente défenseuse de l'environnement. Elle a toujours été convaincue que les soufflés étaient le symbole de la lutte contre le réchauffement climatique. «Je ne comprends pas pourquoi on s'attaque à eux ! Ils ne font de mal à personne, ces pauvres soufflés !», s'indigne-t-elle.

Et pourtant, la dissolution des Soufflés de la Terre n'est pas une surprise. Depuis plusieurs mois, l'association était au cœur d'une polémique. Certains membres accusaient les dirigeants d'utiliser les dons pour financer des vacances de luxe à l'étranger. D'autres dénonçaient des pratiques sectaires et des discours extrémistes.

Face à ces accusations, la direction des Soufflés de la Terre a préféré jeter l'éponge. «Nous avons décidé de dissoudre l'association pour éviter tout scandale. Nous sommes conscients que certains de nos membres ont dérapé et nous en sommes profondément désolés», a déclaré le président de l'association.

Mais pour Mamie, cette explication ne tient pas debout. «C'est une mascarade ! Ils ont été forcés de dissoudre l'association à cause de la pression des lobbies !», affirme-t-elle en allumant une cigarette bio.

En attendant, les écolos sont en deuil. Les soufflés de la Terre ont peut-être disparu, mais leur combat continue. Et Mamie est bien décidée à ne pas baisser les bras. «Je vais me battre jusqu'au bout pour défendre notre planète ! Et si ça ne plaît pas aux pollueurs, tant pis pour eux !», conclut-elle en levant son poing en l'air.