Dans une nouvelle surprenante, l'économiste ultralibéral Javier Milei a été élu président d'Israël-Hamas. Oui, vous avez bien lu, un économiste ultralibéral à la tête d'une organisation politique qui prône la résistance armée et la destruction de l'État d'Israël. C'est comme si on nommait un végétarien à la tête d'une boucherie, ou un pacifiste à la tête d'une entreprise de fabrication d'armes. Incroyable, n'est-ce pas ?
Comment en est-on arrivé là ? Eh bien, il semblerait que les électeurs d'Israël-Hamas aient été séduits par les discours enflammés de Milei sur la liberté économique et la réduction de l'intervention de l'État dans l'économie. Ils ont pensé que si Milei pouvait apporter autant de passion et de conviction à la politique économique, il pourrait également résoudre les problèmes politiques et sécuritaires de la région. Après tout, qui de mieux pour résoudre un conflit complexe que quelqu'un qui n'a aucune expérience ni connaissance en la matière ?
La nouvelle a été accueillie avec perplexité par la communauté internationale. Les dirigeants du monde entier se grattent la tête en se demandant comment un économiste ultralibéral peut être qualifié pour diriger une organisation politique qui prône la violence et la destruction. Certains se demandent même si ce n'est pas une blague de mauvais goût ou une erreur de traduction. Mais non, il semblerait que ce soit bien réel.
Les premières mesures prises par Milei en tant que président d'Israël-Hamas ont été tout aussi surprenantes. Il a annoncé qu'il allait privatiser les tunnels de contrebande et les roquettes utilisées par le Hamas. Selon lui, cela permettrait d'améliorer l'efficacité et la rentabilité de ces activités illégales. De plus, il a proposé de créer un marché libre pour les otages, afin de maximiser les profits pour le groupe terroriste. Après tout, pourquoi ne pas tirer profit de la prise d'otages si cela peut aider à financer les opérations terroristes ?
Face à ces mesures controversées, les habitants de la région sont partagés. Certains voient en Milei un leader visionnaire qui apportera un changement radical à la politique et à l'économie de la région. D'autres, cependant, sont plus sceptiques et se demandent si élire un économiste ultralibéral à la tête d'une organisation terroriste n'était pas une décision un peu précipitée.
En tout cas, une chose est sûre : avec Milei à la tête d'Israël-Hamas, nous pouvons nous attendre à des temps intéressants. Peut-être que la prochaine étape sera d'élire un chef de file du mouvement écologiste à la tête de l'industrie pétrolière, ou un défenseur des droits des animaux à la tête d'une entreprise de foie gras. Après tout, pourquoi pas ? Dans le monde de la politique, tout est possible.