Jean Bon, le politicien en question, a récemment fait parler de lui pour une raison pour le moins cocasse. En effet, ce brillant esprit a réussi l'exploit de confondre le budget de l'État avec un buffet à volonté. Imaginez sa surprise lorsqu'il a réalisé que les chiffres ne se renouvelaient pas automatiquement à la fin du mois, comme les plats dans un restaurant à volonté. Une confusion qui a mené à des dépenses extravagantes et des choix budgétaires pour le moins surprenants.
Mais ce n'est pas tout, car Jean Bon a également eu recours à l'article 49.3 de la Constitution pour se servir sans avoir à passer par le vote du Parlement. Une stratégie audacieuse qui lui a permis de contourner les oppositions et de se servir généreusement dans le buffet budgétaire. Les autres politiciens n'en reviennent toujours pas de cette ingéniosité inédite.
Certains se demandent si Jean Bon n'aurait pas mieux fait de se lancer dans la restauration plutôt que la politique, tant ses talents de chef de buffet semblent évidents. D'autres s'interrogent sur la pertinence de laisser un tel gourmand aux commandes des finances publiques. Une chose est sûre, le buffet budgétaire risque d'être bien maigre après le passage de Jean Bon.