La tempête Céline provoque une pénurie de parapluies à Gaza : les Palestiniens utilisent des frappes israéliennes comme abris

La tempête Céline a frappé Gaza de plein fouet, provoquant une pénurie de parapluies dans la région. Alors que les Palestiniens cherchaient désespérément à se protéger de la pluie torrentielle, ils ont découvert une solution pour le moins inattendue : utiliser les frappes israéliennes comme abris.

En effet, les bombardements incessants de l'armée israélienne ont créé de véritables cratères dans le paysage de Gaza. Les Palestiniens ont rapidement compris que ces trous béants pouvaient servir de parfaits abris contre les intempéries. Quoi de mieux qu'un cratère de bombe pour se protéger de la pluie ?

Les habitants de Gaza ont donc commencé à se réfugier dans les cratères, transformant ainsi ces symboles de destruction en véritables refuges. Les parapluies, devenus rares et hors de prix, ont été relégués au rang d'objets de luxe que seuls les plus riches pouvaient s'offrir.

Les frappes israéliennes sont donc devenues une véritable aubaine pour les Palestiniens. Ils ont même commencé à organiser des visites guidées des cratères, attirant des touristes du monde entier. "Venez découvrir les abris les plus insolites de Gaza !", clament les publicités touristiques.

Cependant, cette situation n'est pas sans poser quelques problèmes. Les Palestiniens doivent constamment être à l'affût des nouvelles frappes israéliennes pour trouver un abri sûr. Certains ont même développé une véritable obsession pour la météo, scrutant les prévisions avec une attention particulière.

De plus, les cratères ne sont pas toujours très confortables. Les habitants de Gaza se plaignent de maux de dos et de courbatures après avoir passé une nuit dans ces abris de fortune. Certains ont même suggéré à l'armée israélienne d'envoyer des matelas et des coussins avec leurs missiles, pour rendre les abris plus accueillants.

En attendant, les Palestiniens continuent de vivre au rythme des frappes israéliennes, transformant chaque bombe en opportunité. Qui aurait cru que la météo et la politique internationale pourraient se mêler de manière si cocasse ?