Le maire Frédéric Baguette de Paris a récemment fait sensation en accueillant les migrants avec des baguettes et des croissants, dans une tentative louable de promouvoir l'unité et l'intégration avant les Jeux Olympiques de Paris. Cependant, cette initiative a rapidement tourné au cauchemar lorsque les baguettes sont devenues le centre d'une baguette géante entre les migrants et les locaux.
Les migrants, habitués à des repas plus consistants et variés, ont été perplexes face à cette offre de baguettes et de croissants, symboles culinaires français certes, mais loin de répondre à leurs besoins nutritionnels. Certains se sont même demandé si le maire avait confondu accueil chaleureux et caricature stéréotypée.
D'un autre côté, les locaux ont été indignés par cette distribution de nourriture jugée insuffisante et condescendante. "Nous ne sommes pas des pigeons à qui on jette des miettes de pain!" s'est insurgée une habitante du quartier. La baguette est devenue le symbole de la division entre les migrants et les locaux, au lieu de les rapprocher comme initialement prévu.
Face à cette situation inattendue, le maire Baguette a tenté de rectifier le tir en proposant une grande fête culinaire où chacun pourrait apporter un plat de son pays d'origine. Cette initiative a finalement permis de briser la baguette géante et de favoriser des échanges plus authentiques et enrichissants entre les différentes communautés.
En conclusion, l'accueil des migrants ne se résume pas à des symboles culinaires et nécessite une approche plus sensible et inclusive. Espérons que les prochains gestes du maire Baguette seront plus efficaces pour favoriser l'intégration et l'harmonie entre tous les habitants de Paris, migrants inclus.