Le maire Marcel de Tristeville a récemment lancé une initiative des plus inattendues en proposant une pétition pour interdire les rixes de pâtisseries dans sa commune. Oui, vous avez bien lu, ces affrontements épiques entre éclairs au chocolat et mille-feuilles pourraient bientôt appartenir au passé si le maire a gain de cause.
La proposition du maire a suscité des réactions mitigées parmi les habitants de Tristeville. Certains applaudissent cette mesure, arguant que les combats de pâtisseries étaient devenus un véritable fléau, avec des croissants volants et des tartes aux pommes en embuscade à chaque coin de rue.
Cependant, d'autres voix se sont élevées pour défendre ces batailles sucrées, arguant qu'elles faisaient partie intégrante de la culture locale et qu'elles apportaient une touche de fantaisie à la vie quotidienne. "Sans les rixes de pâtisseries, que restera-t-il à faire le dimanche après-midi ?" s'interroge une habitante perplexe.
Le maire Marcel, lui, reste inflexible dans sa décision. Selon lui, il est grand temps de mettre un terme à ces affrontements gourmands qui mettent en péril la sécurité publique et la réputation de la commune. Il envisage même d'instaurer des amendes salées pour les contrevenants qui oseraient encore se lancer dans une bataille de choux à la crème.
En attendant le verdict final, les pâtissiers de Tristeville retiennent leur souffle, se demandant si leurs éclairs et leurs macarons resteront des armes de destruction massive ou s'ils devront se contenter de les vendre pacifiquement à leurs clients. Affaire à suivre...
