Le ministre Gargamel demande aux recteurs de lancer un sortilège contre le harcèlement scolaire

Paris - Dans une décision surprenante, le ministre de l'Éducation nationale, M. Gargamel, a demandé aux recteurs d'écoles de lancer un sortilège contre le harcèlement scolaire. Cette annonce a suscité de nombreuses réactions, allant de l'incrédulité à l'hilarité.

Le ministre Gargamel, connu pour ses idées farfelues, a expliqué lors d'une conférence de presse que le sortilège était la solution ultime pour mettre fin au fléau du harcèlement scolaire. "Nous avons essayé toutes les autres méthodes, mais rien n'a fonctionné. Alors pourquoi ne pas essayer la magie ?" a-t-il déclaré avec un sourire en coin.

Les réactions à cette annonce ont été mitigées. Certains ont salué l'originalité de la proposition, tandis que d'autres ont exprimé leur scepticisme. "Est-ce que le ministre Gargamel pense vraiment que la magie peut résoudre un problème aussi sérieux que le harcèlement scolaire ? C'est absurde !" a déclaré un parent d'élève.

Les recteurs d'écoles, quant à eux, se sont montrés perplexes face à cette demande. "Nous ne sommes pas des sorciers, nous sommes des éducateurs. Notre rôle est d'enseigner et d'encadrer les élèves, pas de jeter des sorts !" a déclaré un recteur lors d'une réunion avec ses collègues.

Malgré les doutes et les critiques, le ministre Gargamel reste convaincu de l'efficacité de son plan. Il a déjà commandé des grimoires et des potions magiques pour les recteurs d'écoles, afin qu'ils puissent commencer à lancer des sorts dès la rentrée prochaine.

En attendant, les réseaux sociaux se sont emparés de l'affaire et ont lancé le hashtag #SortilègeContreLeHarcèlementScolaire. Les internautes se moquent ouvertement de la proposition du ministre, en publiant des images de sorciers et de potions avec des légendes ironiques.

Il reste à voir si le sortilège du ministre Gargamel aura réellement un impact sur le harcèlement scolaire. En attendant, les élèves continueront de subir les brimades et les moqueries, tandis que le ministre s'adonnera à ses expériences magiques. Vive l'éducation à la française !