Le nouveau Premier ministre, Jean Boncroissant, a récemment organisé des entretiens avec les candidats désireux de servir l'intérêt supérieur du pays. Mais au lieu d'une simple discussion politique, les postulants ont été confrontés à une épreuve inattendue : jongler avec des baguettes de pain.
La scène était digne d'un cirque, avec les candidats essayant maladroitement de maintenir l'équilibre entre leurs promesses électorales et les baguettes de pain qui leur échappaient des mains. Certains ont même tenté de jongler avec des croissants, mais ont rapidement abandonné devant la difficulté de la tâche.
Jean Boncroissant, quant à lui, observait la scène avec un sourire narquois, appréciant visiblement le spectacle comique que lui offraient ces politiciens en herbe. Il semblait convaincu que seuls les plus habiles jongleurs pourraient prétendre à un poste au sein de son gouvernement.
Après plusieurs heures de jonglerie improvisée, certains candidats ont finalement réussi à impressionner le Premier ministre par leur dextérité. D'autres, en revanche, ont été priés de quitter les lieux, incapables de jongler avec les enjeux politiques tout autant qu'avec les baguettes de pain.
Il semblerait que sous le règne de Jean Boncroissant, la politique prenne des airs de spectacle de rue, où seuls les plus audacieux et les plus doués pourront prétendre à une place de choix. Espérons juste que ces jongleurs politiques sauront également jongler avec les véritables défis qui attendent le pays.