Le Président Macaron a récemment annoncé une mesure controversée visant à financer les retraites des facteurs paresseux : une taxe sur les croissants. Cette décision a provoqué un tollé parmi les amateurs de viennoiseries et les travailleurs du secteur postal.
Les Français se demandent pourquoi les croissants, symboles de la gastronomie française, sont pris pour cible par le gouvernement. Certains suggèrent que le Président Macaron aurait pu choisir une taxe sur les baguettes, mais il semblerait que les croissants aient été jugés plus rentables.
Les facteurs paresseux, de leur côté, se frottent les mains en pensant aux futures retraites dorées qu'ils pourront toucher grâce à cette taxe. Certains se demandent même s'ils ne devraient pas se mettre à livrer des croissants pour augmenter leurs revenus.
Face à la grogne populaire, le gouvernement tente de calmer le jeu en assurant que cette taxe sur les croissants est temporaire et qu'elle permettra de sauver le système de retraite des facteurs. Mais pour beaucoup, il s'agit d'une mesure absurde qui ne fait que renforcer l'image d'un gouvernement déconnecté des réalités du quotidien.