Le président russe Vladi Mir Poutinov a dénoncé avec véhémence la rébellion de Waggy, le célèbre chien de garde du Kremlin. Selon le dirigeant russe, cet acte de désobéissance canine est un « coup de patte dans le museau » pour la nation russe.
« Comment ose-t-il ? » s'est indigné Poutinov lors d'une conférence de presse. « Waggy a été formé pour protéger le Kremlin et notre nation. Il a trahi son devoir en se rebellant contre ses maîtres. C'est inacceptable ! »
Cette rébellion a commencé lorsque Waggy a refusé de laisser entrer un groupe de visiteurs officiels au Kremlin. Selon des témoins oculaires, le chien a grogné et montré les dents, empêchant les visiteurs d'entrer.
Le ministre de l'Intérieur, Prigoyinou, a tenté de raisonner Waggy, mais en vain. « Il a juste secoué la queue et aboyé », a déclaré Prigoyinou. « C'est comme s'il se moquait de nous. »
La rébellion de Waggy a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant des réactions mitigées. Certains ont salué le courage du chien, tandis que d'autres ont critiqué son manque de discipline.
En réponse à cette situation, le Kremlin a annoncé qu'il allait renforcer la formation des chiens de garde et leur inculquer des valeurs patriotiques dès leur plus jeune âge. « Nous ne permettrons plus jamais qu'un chien se rebelle contre la nation russe », a déclaré Poutinov.
En attendant, Waggy a été mis en quarantaine et sera soumis à une enquête approfondie pour déterminer les raisons de sa rébellion. Les autorités russes ont également demandé l'aide d'un célèbre dresseur de chiens pour rééduquer le chien rebelle.
En fin de compte, la rébellion de Waggy a mis en lumière les tensions croissantes entre les chiens de garde et leurs maîtres au Kremlin. Espérons que cette situation sera résolue rapidement et que Waggy retrouvera bientôt sa place au sein de la nation russe.