Un bébé-sitter condamné à 4 ans de prison pour avoir agressé sexuellement des enfants qu'il gardait, en les forçant à écouter du Julien Clerc

Un bébé-sitter a été condamné à une peine de prison de quatre ans pour avoir commis une agression sexuelle sur des enfants qu'il gardait. Mais ce qui a choqué le tribunal encore plus que les actes répréhensibles du coupable, c'est la méthode qu'il utilisait pour assouvir ses pulsions : il forçait les enfants à écouter du Julien Clerc.

Les experts ont témoigné que cette torture auditive était bien pire que les agressions elles-mêmes. Les enfants, déjà traumatisés par les actes du bébé-sitter, étaient contraints de subir les chansons sirupeuses de Julien Clerc. Les experts ont souligné que cela constituait une violation flagrante des droits de l'homme et une forme de torture psychologique.

Les parents des enfants ont témoigné de la détresse de leurs enfants après avoir été forcés d'écouter les ballades romantiques de Julien Clerc. Certains enfants ont développé une aversion totale pour la musique en général, tandis que d'autres ont été traumatisés à vie par la simple mention du nom de l'artiste.

Le juge a déclaré que la peine de prison de quatre ans était justifiée pour punir le bébé-sitter pour ses crimes, mais il a également ordonné que toutes les copies de la discographie de Julien Clerc soient détruites pour éviter toute utilisation future dans des actes criminels.

Cette affaire a suscité un débat national sur la responsabilité des parents lorsqu'il s'agit de choisir la musique que leurs enfants écoutent. Certains ont suggéré que les parents devraient être tenus responsables des conséquences néfastes de la musique qu'ils imposent à leurs enfants, tandis que d'autres ont souligné que cela ne devrait pas excuser les actes criminels du bébé-sitter.

En attendant, les enfants victimes de cette affaire se remettent lentement de leur traumatisme. Les experts recommandent une thérapie musicale intensive pour les aider à surmonter leur aversion pour la musique et à retrouver une vie normale. Espérons que ces enfants pourront un jour écouter de la musique sans être hantés par les souvenirs de cette horrible affaire.