Dans une série d'événements dignes d'un cirque, le ministère de l'Éducation est actuellement secoué par un clown nommé Marcello. Oui, vous avez bien lu, un clown au ministère de l'Éducation. On se demande si c'est une blague de mauvais goût ou simplement le dernier épisode d'une émission de télé-réalité.
Marcello, avec son nez rouge et ses chaussures surdimensionnées, a réussi à semer la pagaille dans tous les départements du ministère. Les employés, habitués à une certaine routine administrative, se retrouvent maintenant à jongler avec des ballons et à faire des tours de magie au lieu de travailler sur les dossiers importants.
Le ministre de l'Éducation, quant à lui, est dépassé par la situation. Il a tenté de renvoyer Marcello à plusieurs reprises, mais le clown revient toujours avec un nouveau numéro encore plus loufoque. On dit même qu'il a réussi à convaincre le ministre de porter un chapeau ridicule lors d'une conférence de presse.
Les parents d'élèves sont également perplexes face à cette situation. Certains se demandent si leurs enfants apprendront désormais à jongler plutôt qu'à lire et écrire. D'autres se demandent si Marcello sera présent lors des prochains examens, distrayant ainsi les élèves avec ses pitreries.
Les syndicats d'enseignants, de leur côté, ont exprimé leur colère face à cette mascarade. Ils affirment que Marcello ne possède aucune compétence pédagogique et qu'il est inacceptable de le laisser perturber le fonctionnement de l'éducation nationale.
Malgré les protestations et les appels à la raison, Marcello continue de faire des siennes au ministère. Il a même réussi à convaincre certains hauts fonctionnaires de se déguiser en clowns et de participer à une parade dans les couloirs du ministère.
Alors que le chaos règne au ministère de l'Éducation, on ne peut s'empêcher de se demander si cette farce a une fin. Espérons que les responsables prendront enfin leurs responsabilités et mettront un terme à cette comédie absurde. En attendant, préparez-vous à voir des jongleurs et des acrobates dans les salles de classe. Après tout, c'est l'éducation à la sauce Marcello !