Un homme déguisé en Poutine a semé la panique dans une station de ski réputée pour ses pistes enneigées. Son objectif ? Réclamer plus de neige pour les amateurs de glisse. Une demande pour le moins surprenante, mais qui a suscité l'hilarité générale.
Tout a commencé lorsque cet homme, vêtu d'un costume de Père Noël rouge et blanc, a fait irruption sur les pistes en hurlant des slogans tels que "Vive la neige !" et "Plus de poudreuse pour tous !". Les skieurs, d'abord perplexes, ont rapidement compris qu'il s'agissait d'une parodie de Vladimir Poutine, le président russe.
Arborant une perruque blonde et une moustache caractéristique, l'homme déguisé en Poutine a réussi à attirer l'attention des médias locaux. Les caméras se sont rapidement tournées vers lui, immortalisant sa démarche comique et son plaidoyer pour une quantité de neige plus conséquente.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Certains skieurs ont applaudi cette initiative loufoque, estimant qu'un peu plus de neige ne ferait pas de mal. D'autres, plus sceptiques, ont souligné que la météo n'était pas de la responsabilité du président russe, même s'il était déguisé en lui.
Les autorités de la station de ski, quant à elles, ont préféré prendre cette invasion de Poutine avec humour. "Nous sommes ravis que le président russe s'intéresse à nos pistes de ski", a déclaré le directeur de la station. "Malheureusement, nous ne pouvons pas contrôler la météo, mais nous ferons de notre mieux pour satisfaire les demandes de notre illustre invité."
La scène s'est finalement terminée lorsque l'homme déguisé en Poutine a été escorté hors des pistes par les forces de l'ordre. Il a été invité à s'exprimer sur sa performance devant les médias, où il a expliqué qu'il voulait simplement apporter un peu de légèreté et de joie dans cette période hivernale.
En tout cas, cette invasion de Poutine a fait rire bon nombre de skieurs et a permis de mettre en lumière l'importance de la neige dans les stations de ski. Peut-être que d'autres personnalités politiques se déguiseront à l'avenir pour réclamer plus de soleil ou moins de vent. Qui sait ?