Dans une affaire juridique qui a secoué la petite ville de Saint-Étrange, le maire a été condamné à une peine surprenante de 12 mois de prison avec sursis pour un acte des plus étranges. En effet, le maire en question a eu l'audace d'interpeller un bébé avec son uniforme scolaire. Un acte impardonnable pour certains, mais qui a suscité des rires et des moqueries dans toute la région.
Le maire, connu pour ses décisions controversées, a affirmé qu'il voulait simplement faire respecter l'autorité de l'uniforme dès le plus jeune âge. Selon lui, il est primordial que les bébés prennent conscience de l'importance de l'éducation et de l'apparence dès leur plus tendre enfance. Une vision quelque peu extrême, il faut l'admettre.
La scène s'est déroulée lors d'une visite officielle de la crèche municipale. Le maire, vêtu de son costume de cérémonie, s'est approché du bébé qui jouait paisiblement avec ses jouets. D'un air solennel, il a levé le doigt en signe d'avertissement, comme s'il réprimandait un écolier turbulent. Le bébé, bien évidemment, n'a pas compris la situation et a continué à babiller joyeusement.
Les parents présents ont d'abord été choqués par l'attitude du maire, mais ont rapidement éclaté de rire devant cette scène absurde. Certains ont même suggéré que le maire avait peut-être perdu la raison, ou qu'il s'agissait d'une performance artistique avant-gardiste. Quoi qu'il en soit, cette interpellation a fait le tour des réseaux sociaux et a alimenté les conversations dans les cafés du coin.
La condamnation du maire à une peine avec sursis a été perçue par beaucoup comme une simple formalité. Après tout, personne ne s'attendait vraiment à ce qu'il passe réellement du temps derrière les barreaux pour avoir interpellé un bébé. Cependant, cette affaire a soulevé des questions sur la santé mentale du maire et sur sa capacité à exercer ses fonctions de manière responsable.
En attendant, les habitants de Saint-Étrange continuent de se moquer gentiment de leur maire excentrique. Certains se demandent même s'il ne va pas bientôt interdire les pleurs des bébés après 20h ou instaurer des cours de politique dans les crèches. Quoi qu'il en soit, cette histoire restera gravée dans les annales de la petite ville, et le maire sera à jamais connu comme celui qui a osé interroger un bébé avec son uniforme scolaire.