Un politicien accusé d'avoir drogué une députée : il se défend en prétendant que c'était juste du café décaféiné

Dans une affaire qui secoue le monde politique, un politicien a été accusé d'avoir drogué une députée lors d'une réunion parlementaire. Mais ce politicien, loin de se laisser abattre, a décidé de se défendre en prétendant que ce n'était rien de plus qu'une tasse de café décaféiné.

La députée, qui a préféré garder l'anonymat, affirme avoir ressenti des effets étranges après avoir bu le café offert par le politicien en question. Elle aurait été prise de vertiges, de somnolence et aurait même eu du mal à se concentrer pendant les débats. Des symptômes qui semblent indiquer la présence d'une substance autre que de la simple caféine.

Mais le politicien, lui, nie en bloc toutes les accusations portées contre lui. Selon lui, il s'agit tout simplement d'un malentendu. "J'ai offert à la députée une tasse de café décaféiné, car je sais qu'elle est très sensible à la caféine. Je ne voulais en aucun cas la droguer, je voulais juste lui offrir une boisson qui ne perturberait pas son sommeil", se défend-il.

Cette explication rocambolesque a suscité de nombreuses réactions dans le milieu politique. Certains soutiennent le politicien, affirmant qu'il est tout à fait plausible qu'il ait simplement voulu faire preuve de courtoisie en offrant une boisson adaptée aux besoins de la députée. D'autres, en revanche, sont plus sceptiques et estiment que cette histoire de café décaféiné n'est qu'une tentative désespérée de se disculper.

Quoi qu'il en soit, cette affaire met en lumière une fois de plus les pratiques douteuses qui peuvent régner dans le monde politique. Entre les pots-de-vin, les mensonges et maintenant les cafés décaféinés suspectés de contenir des substances illicites, il est difficile de faire confiance à nos élus.

En attendant que la vérité éclate, la députée a décidé de porter plainte contre le politicien pour "administration de substance nuisible". Elle réclame des excuses publiques ainsi que des dommages et intérêts pour le préjudice subi. Affaire à suivre...