Unicorn Attal déclare que les licornes n'ont pas leur place dans nos écoles, pas plus que les dragons

Paris - Dans une déclaration choquante, le ministre français de l'Éducation, Jean-Michel Unicorn Attal, a déclaré aujourd'hui que les licornes n'avaient pas leur place dans nos écoles, pas plus que les dragons. Cette déclaration a provoqué un tollé parmi les amateurs de contes de fées et les fans de créatures mythiques.

Attal a justifié sa position en soulignant que les licornes et les dragons n'étaient pas des espèces réelles et qu'ils n'avaient donc pas leur place dans l'éducation moderne. "Nous devons nous concentrer sur l'enseignement des connaissances et des compétences qui sont réellement applicables dans le monde réel", a-t-il déclaré. "Les licornes et les dragons ne font pas partie de ce monde."

Cette déclaration a suscité de vives réactions de la part des partisans des créatures mythiques. Des manifestations ont eu lieu devant le ministère de l'Éducation, avec des pancartes proclamant "Sauvons les licornes" et "Les dragons méritent une éducation aussi". Certains ont même suggéré que les licornes et les dragons pourraient être intégrés dans le programme scolaire, peut-être en tant que matières optionnelles.

Les opposants à la déclaration d'Attal ont également souligné l'importance des contes de fées et des créatures mythiques dans l'imagination des enfants. "Les licornes et les dragons stimulent la créativité et l'imagination des enfants", a déclaré un parent indigné. "En les excluant de nos écoles, nous privons nos enfants d'une partie essentielle de leur développement."

Cependant, Attal reste inflexible dans sa position. Il a déclaré qu'il était prêt à discuter de l'introduction d'autres créatures mythiques dans les écoles, comme les elfes ou les fées, mais que les licornes et les dragons étaient tout simplement trop fantastiques pour être pris au sérieux.

Cette controverse soulève une question plus large sur la place des créatures mythiques dans notre société. Devrions-nous continuer à les ignorer et à les exclure de notre éducation, ou devrions-nous les embrasser comme une partie importante de notre culture et de notre imagination collective ? Seul l'avenir nous le dira.