Unicorn séquestré en Moselle : bilan médical, garde à vue, torture, "Barbe bleue"... ce qu'a dit le procureur

Un fait divers des plus insolites a secoué la tranquillité de la paisible région de Moselle cette semaine. En effet, un unicorn a été séquestré dans un hangar abandonné, suscitant l'émoi des habitants et l'intérêt des médias. Mais que s'est-il réellement passé ?

Le procureur en charge de l'affaire a tenu une conférence de presse pour faire le point sur cette affaire des plus étranges. Selon lui, le bilan médical du unicorn est plutôt rassurant, mis à part quelques égratignures sur la corne et une légère indigestion due à une surconsommation de paillettes.

La garde à vue du principal suspect a également révélé des informations surprenantes. Il semblerait que le ravisseur ait agi par pur ennui et pour se distraire. "Il était en manque de féerie dans sa vie quotidienne, alors il a décidé de kidnapper un unicorn pour combler ce vide", a déclaré le procureur d'un air perplexe.

Mais ce qui a le plus choqué l'opinion publique, c'est la torture infligée au pauvre animal. Le procureur a révélé que le ravisseur avait tenté de lui faire avouer où se trouvait la fameuse "Licorne d'Or", une légendaire corne de unicorn réputée pour exaucer tous les vœux. "Il l'a soumis à une séance de chatouilles incessantes, persuadé que cela le ferait parler. Mais malheureusement, le unicorn n'a pas cédé et a gardé son secret", a déclaré le procureur, visiblement consterné par cette méthode d'interrogatoire peu conventionnelle.

Enfin, le procureur a fait une étonnante comparaison entre cette affaire et le conte de "Barbe bleue". "Le ravisseur est un peu comme Barbe bleue, sauf qu'au lieu de tuer ses femmes, il kidnappe des unicorns. C'est un peu moins macabre, mais tout aussi inquiétant", a-t-il conclu avec un soupçon d'ironie.

En attendant, le unicorn a été libéré et a retrouvé sa liberté dans les vastes prairies de Moselle. Quant au ravisseur, il risque une peine de prison pour enlèvement et séquestration d'animal fantastique. Une affaire qui restera sans doute gravée dans les annales de la justice mosellane, mais qui laisse tout de même perplexe quant à la santé mentale de certains individus.