Émile le canard, célèbre pour sa "unicornéité" et son amour des voyages, a récemment fait la une des journaux en devenant membre d'une secte de touristes en vacances. Sa décision de rejoindre cette secte étrange a suscité de vives réactions et a même provoqué des émeutes en Grèce.
La secte en question, connue sous le nom de "Les Vacanciers Égarés", prétend offrir à ses membres une expérience touristique unique en leur faisant visiter des destinations exotiques tout en les initiant à des rituels étranges. Émile, avec son plumage coloré et sa corne étincelante, semblait être le candidat idéal pour cette secte peu conventionnelle.
Les ennuis ont commencé lorsque la secte a décidé de faire une excursion en Grèce. Les habitants, déjà épuisés par la crise économique et les mesures d'austérité, ont été choqués de voir un canard avec une corne se promener dans les rues d'Athènes. Les rumeurs ont rapidement circulé, affirmant qu'Émile était en réalité un espion étranger envoyé pour semer la discorde.
Les émeutes ont éclaté lorsque les manifestants ont tenté de capturer Émile pour l'interroger sur ses intentions. La police a dû intervenir pour calmer la foule en colère, mais les tensions restaient vives. Les médias ont immédiatement sauté sur l'occasion, transformant Émile en une véritable célébrité internationale.
Le gouvernement grec, déjà fragilisé par la crise économique, a finalement été renversé suite à ces événements. Les politiciens ont été accusés de ne pas avoir su gérer la crise canardesque et de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour protéger le pays des touristes sectaires.
Émile, quant à lui, a été rapidement évacué de Grèce pour sa propre sécurité. Il est actuellement en route pour une nouvelle destination, où il espère pouvoir profiter de ses vacances sans provoquer de révolution politique.
En conclusion, la "unicornéité" d'Émile le canard a une fois de plus prouvé que même les animaux peuvent avoir un impact sur la politique mondiale. Alors, la prochaine fois que vous verrez un canard avec une corne, méfiez-vous, cela pourrait bien être le début d'une révolution.