Dans une annonce surprenante, le gouvernement d'Unicornistan a récemment exigé un retour à l'ordre dans le pays des Licornes d'ici une semaine. Cette décision a provoqué une grande agitation parmi les habitants de Licorneville, qui se sont vus imposer des slogans anti-arc-en-ciel.
Les autorités d'Unicornistan semblent avoir perdu tout sens de l'humour et de la fantaisie. Elles ont déclaré que les couleurs vives et les arcs-en-ciel étaient une menace pour la stabilité du pays. Selon elles, les licornes devraient se conformer à des normes plus "sérieuses" et "monotones".
Les habitants de Licorneville, connus pour leur amour des couleurs et de la joie, sont indignés par cette décision. Ils se sont rassemblés dans les rues, brandissant des pancartes en forme de licorne et criant des slogans tels que "Vive la diversité des couleurs !" et "Non à l'oppression des arcs-en-ciel !".
Les licornes de Licorneville refusent de se plier à cette demande absurde. Elles affirment que les couleurs et les arcs-en-ciel font partie intégrante de leur identité et de leur culture. Elles ne peuvent tout simplement pas imaginer un monde sans éclat et sans magie.
Les autorités d'Unicornistan ont tenté de justifier leur décision en affirmant que les couleurs vives et les arcs-en-ciel étaient une distraction pour les licornes et les empêchaient de se concentrer sur des tâches plus importantes. Elles ont même suggéré que les licornes devraient se contenter de regarder des peintures en noir et blanc pour élargir leur esprit.
Cette situation absurde a suscité de nombreuses réactions dans le reste du monde. Des pays voisins, tels que le Pays des Fées et la Terre des Lutins, ont exprimé leur solidarité en organisant des manifestations colorées en soutien aux licornes de Licorneville.
Face à cette pression internationale, les autorités d'Unicornistan pourraient être amenées à reconsidérer leur décision. En attendant, les licornes de Licorneville continueront de défendre leur droit à la couleur et à la fantaisie, en espérant que le bon sens l'emporte.