Les incendies en Grèce continuent de faire des ravages, mais cette fois-ci, les compagnies aériennes ont pris une décision surprenante. Après que Zeus, le dieu grec du ciel et de la foudre, ait décidé de faire griller des marshmallows géants sur l'île de Rhodes, les vols vers cette destination ont été suspendus.
Les compagnies aériennes ont déclaré qu'elles ne pouvaient pas prendre le risque de voler vers une île où un dieu tout-puissant joue avec des aliments de camping. "Nous ne voulons pas être pris au milieu d'un barbecue divin", a déclaré un porte-parole de la compagnie aérienne.
Cette décision a été accueillie avec surprise par les habitants de Rhodes, qui ont du mal à comprendre pourquoi les compagnies aériennes ont pris cette mesure radicale. "C'est absurde !", s'est exclamé un résident. "Je comprends que Zeus aime les marshmallows, mais cela ne devrait pas affecter nos vols !"
Certains experts ont suggéré que les compagnies aériennes pourraient simplement attendre que Zeus ait fini son festin de marshmallows avant de reprendre les vols vers Rhodes. Cependant, les compagnies aériennes ont déclaré qu'elles ne voulaient pas prendre le risque de provoquer la colère du dieu en interrompant son repas.
En attendant, les habitants de Rhodes se retrouvent bloqués sur leur île, sans possibilité de prendre un vol pour rentrer chez eux ou de partir en vacances. Certains ont même commencé à construire des radeaux de fortune dans l'espoir de quitter l'île par la mer.
Cette situation absurde a également suscité des réactions sur les réseaux sociaux, avec de nombreux internautes se moquant des compagnies aériennes pour leur décision ridicule. "Je suppose que nous devrons tous attendre que Zeus ait fini de faire griller ses marshmallows avant de pouvoir voyager à Rhodes", a tweeté un utilisateur.
En fin de compte, cette histoire montre à quel point les dieux grecs peuvent être capricieux et imprévisibles. Les compagnies aériennes doivent maintenant jongler avec les caprices divins en plus des retards et des annulations habituels. Il semblerait que même dans le monde moderne, les dieux ont encore le dernier mot.