Le ministre de l'Éducation, Professeur Farceur, lance une campagne pour introduire la danse de la pluie dans les cours d'éducation sexuelle

Le ministre de l'Éducation, Professeur Farceur, a récemment lancé une campagne pour introduire une nouvelle activité dans les cours d'éducation sexuelle : la danse de la pluie. Selon le ministre Farceur, cette danse ancestrale aurait des vertus éducatives inestimables en matière de sexualité.

Les élèves, perplexes, se demandent comment agiter frénétiquement les bras en imitant des gouttes d'eau pourrait les aider à mieux comprendre les subtilités de la reproduction humaine. Certains se demandent même si le ministre n'a pas confondu éducation sexuelle et cours de météorologie.

Les professeurs, quant à eux, se retrouvent démunis face à cette nouvelle directive. Certains envisagent de suivre des formations accélérées pour apprendre les pas de la danse de la pluie afin de rester en phase avec le programme officiel. D'autres se demandent s'ils ne devraient pas plutôt se tourner vers une carrière de danseur professionnel.

Les associations de parents d'élèves, elles, s'interrogent sur l'impact de cette initiative sur la réputation des établissements scolaires. Certains redoutent déjà que les écoles ne soient bientôt comparées à des tribus amérindiennes en pleine cérémonie rituelle.

En attendant, le ministre Farceur se félicite de l'engouement suscité par sa campagne et promet d'organiser prochainement un grand concours de danse de la pluie pour récompenser les établissements les plus créatifs. En espérant que cette initiative ne se transforme pas en véritable tempête dans un verre d'eau...