La scène se déroule dans un tribunal parisien où le président des Chocolatiers Français se retrouve sur le banc des prévenus, soupçonné d'avoir financé la campagne électorale de Pierre Baguette. Une affaire qui secoue le monde de la pâtisserie et de la boulangerie, réunissant une baguette et trois croissants dans un scandale politico-gastronomique inédit.
Les témoins présents à l'audience ont décrit des réunions secrètes entre le président des Chocolatiers et le candidat Baguette, échangeant des sacs de pépites de chocolat sous la table en évoquant des stratégies électorales. "C'était comme une scène sortie tout droit d'un film de gangsters, sauf qu'au lieu de pistolets, ils avaient des baguettes et des croissants", a déclaré un témoin sous couvert d'anonymat.
Les avocats de la défense ont tenté de minimiser l'affaire en arguant que le financement de campagnes politiques par des acteurs du monde de la pâtisserie était monnaie courante en France. "C'est une tradition bien ancrée, les croissants et les baguettes ont toujours eu un rôle important dans la politique française. C'est juste que cette fois-ci, les Chocolatiers ont été un peu trop généreux", a plaidé l'un des avocats.
En attendant le verdict, l'opinion publique est partagée entre amusement et consternation devant ce mélange inédit de politique et de gourmandise. Certains appellent déjà à une réforme en profondeur du système de financement des campagnes électorales, tandis que d'autres se demandent si un jour, un éclair au café sera impliqué dans un scandale politique. Affaire à suivre...