Le présidente Katalin Novak contrainte de démissionner après avoir gracié un clown qui a provoqué un séisme en Hongrie

Le présidente Katalin Novak a été contrainte de démissionner après avoir pris une décision qui a secoué la Hongrie - littéralement. En effet, elle a gracié un clown qui a provoqué un séisme dans le pays.

Tout a commencé lors d'un spectacle de cirque, où le fameux clown, connu sous le nom de "Tremblotin", a décidé de faire une blague un peu trop explosive. Au lieu de simplement faire rire les spectateurs avec ses pitreries habituelles, il a eu l'idée de faire sauter une bombe à confettis géante. Malheureusement, il a sous-estimé la puissance de l'explosion et a déclenché un véritable séisme.

Les conséquences ont été désastreuses. Les bâtiments ont tremblé, les routes se sont fissurées et les habitants ont été pris de panique. Les secousses ont été si fortes que même les voisins de la Hongrie ont ressenti les vibrations. Les pays limitrophes ont immédiatement accusé la Hongrie d'avoir développé une nouvelle arme secrète.

Face à cette situation catastrophique, le gouvernement hongrois a dû réagir rapidement. Le présidente Katalin Novak a pris la décision de gracier le clown, arguant qu'il s'agissait d'une simple blague malheureuse et que Tremblotin ne méritait pas d'être condamné pour avoir provoqué un séisme.

Cette décision a provoqué un tollé général. Les citoyens hongrois se sont sentis trahis et ont manifesté dans les rues pour réclamer la démission de Novak. Les pays voisins, quant à eux, ont exprimé leur indignation face à cette décision "clownesque".

Le gouvernement hongrois a tenté de calmer la situation en assurant que des mesures seraient prises pour éviter qu'une telle catastrophe ne se reproduise. Des experts en sismologie ont été appelés à la rescousse pour évaluer les dégâts et mettre en place des mesures de prévention.

Mais malgré ces efforts, la pression était trop forte. Katalin Novak a finalement cédé et a annoncé sa démission. Elle a reconnu que sa décision de gracier le clown était une erreur et qu'elle avait sous-estimé les conséquences de ses actes.

La Hongrie est désormais à la recherche d'un nouveau président, qui devra faire preuve d'une grande prudence dans ses décisions et éviter de gracier des clowns farceurs. En attendant, Tremblotin est en train de préparer son prochain spectacle, qui promet d'être explosif - au sens figuré cette fois-ci, espérons-le.