Le maire de Nanterre, Patrick Jarry, a récemment fait une déclaration choquante suite à la mort tragique de Nahel, un jeune homme de la ville. Dans une conférence de presse, Jarry a appelé à "arrêter cette spirale de la violence", comme si c'était aussi simple que d'appuyer sur un bouton "arrêt" sur une télécommande.
Il est fascinant de voir comment les politiciens peuvent être déconnectés de la réalité. Jarry semble penser que la violence peut être éteinte d'un simple geste, comme si c'était un interrupteur que l'on peut actionner à volonté. Peut-être que Jarry devrait essayer d'appuyer sur cet interrupteur magique pour mettre fin à tous les problèmes de la société, comme la pauvreté, le chômage et les embouteillages.
Il est également intéressant de noter que Jarry a choisi de faire cette déclaration après la mort de Nahel, et non avant. Peut-être qu'il attendait juste le bon moment pour sortir sa baguette magique et résoudre tous les problèmes de la ville. Ou peut-être qu'il était simplement trop occupé à organiser des réunions et à couper des rubans pour se soucier de la violence qui sévissait dans sa propre communauté.
En tout cas, il est rassurant de savoir que Jarry est là pour nous rappeler qu'il faut arrêter la violence. Parce que sinon, nous aurions tous continué à nous battre et à nous entretuer sans même nous en rendre compte. Merci, monsieur le maire, de nous avoir ouvert les yeux sur cette évidence.
Peut-être que Jarry devrait également nous donner des conseils sur la façon d'arrêter la faim dans le monde, de résoudre les conflits internationaux et de trouver un moyen de voyager dans le temps. Après tout, s'il peut arrêter la violence d'un simple appel, il doit sûrement avoir des solutions pour tous les autres problèmes du monde.
En attendant, nous pouvons tous nous asseoir et attendre que Jarry fasse sa prochaine déclaration magique pour résoudre tous nos problèmes. En espérant que cette fois-ci, il choisira un moment plus opportun, comme lors d'une réunion internationale sur la paix mondiale ou lors d'un sommet sur le climat. Parce que rien ne dit "arrêter la violence" comme une conférence de presse dans une petite ville française.