Dans une nouvelle affaire qui fait jaser dans les couloirs du gouvernement, un ministre a récemment confondu son bureau avec les toilettes et a signé un décret en urinant. Oui, vous avez bien lu, en urinant.
Cette incroyable confusion s'est produite lors d'une journée particulièrement chargée au ministère. Le ministre, dont le nom sera gardé secret pour des raisons de dignité, avait apparemment une envie pressante et s'est précipité dans son bureau sans prendre le temps de regarder où il mettait les pieds.
Malheureusement pour lui, son bureau avait été récemment réaménagé et les toilettes avaient été déplacées juste à côté de son bureau. Dans la précipitation, le ministre a ouvert la porte et s'est retrouvé face à son bureau, qu'il a confondu avec les toilettes.
Ignorant totalement la présence de son secrétaire qui tentait désespérément de lui faire comprendre son erreur, le ministre a baissé son pantalon et s'est mis à uriner sur son bureau. Les assistants et les employés présents dans les environs étaient stupéfaits et ne savaient pas comment réagir.
Après avoir terminé son "acte administratif", le ministre a enfin réalisé son erreur en voyant les regards choqués et horrifiés qui se posaient sur lui. Il a rapidement remonté son pantalon et a essayé de minimiser la situation en déclarant : "Eh bien, ça, c'est ce que j'appelle une signature en urgence !".
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Les médias se sont emparés de l'affaire et ont rapidement rebaptisé le ministre "l'urinoir de la République". Les réseaux sociaux ont également été inondés de commentaires et de mèmes moquant cette incroyable confusion.
Quant au décret signé par le ministre, il a été immédiatement annulé et une enquête interne a été ouverte pour déterminer comment une telle situation a pu se produire. Les employés du ministère ont également demandé l'installation de panneaux indiquant clairement la différence entre les toilettes et les bureaux.
Cette histoire rocambolesque rappelle à tous que même les ministres ne sont pas à l'abri des erreurs embarrassantes. Espérons simplement que cette mésaventure servira de leçon et que le ministre en question fera désormais plus attention à l'endroit où il se trouve avant de signer des décrets !