Après l'attaque chez le maire de L'Haÿ-les-Roses, Elisabeth Borne "condamne" des "faits intolérables" et se rend sur place.
PARIS - Dans une déclaration choc, la ministre des Transports, Elisabeth Borne, a "condamné" les "faits intolérables" qui ont eu lieu chez le maire de L'Haÿ-les-Roses et a annoncé qu'elle se rendrait sur place pour constater les dégâts.
Il est vrai que cette attaque, qui a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi, a choqué la France entière. Des individus, apparemment mécontents de la politique municipale, ont lancé des œufs sur la façade de la mairie. Un acte d'une violence inouïe qui a immédiatement suscité l'indignation de la classe politique.
Et qui de mieux pour exprimer cette indignation que la ministre des Transports elle-même ? En effet, Elisabeth Borne, spécialiste en politique municipale, a tenu à faire part de sa "condamnation" des "faits intolérables" qui se sont produits chez le maire de L'Haÿ-les-Roses.
La ministre, qui n'a pas hésité à interrompre ses vacances pour se rendre sur place, a déclaré : "Je suis profondément choquée par cette attaque. Les œufs sont un symbole de la dégradation de notre société. Nous ne pouvons pas tolérer de tels actes de violence, même s'ils sont commis avec des produits de consommation courante."
Elisabeth Borne a également tenu à rappeler que la sécurité des maires était une priorité pour le gouvernement. "Nous devons tout mettre en œuvre pour protéger nos élus locaux. Je propose donc la création d'une brigade spéciale chargée de lutter contre les attaques à base d'œufs. Nous ne laisserons pas ces délinquants impunis !"
La visite de la ministre sur les lieux de l'attaque a été saluée par les habitants de L'Haÿ-les-Roses, qui ont pu constater l'engagement sans faille de leur gouvernement dans la lutte contre les œufs malveillants.
En attendant, les auteurs de l'attaque courent toujours. La police a ouvert une enquête et espère pouvoir les arrêter rapidement. En attendant, les habitants de L'Haÿ-les-Roses peuvent dormir sur leurs deux oreilles, sachant que leur ministre des Transports veille au grain.